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General pervert wanted [Terminé]-[Mature] ( PV : Syb'lah et Asmodée)

Asmodée
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Prince de la Luxure





Asmodée
Prince de la Luxure
Dim 22 Déc - 20:05
Alors que je sortais du bureau de Satan, je me remémorai ses paroles.  Avant de vouloir un Général, il fallait déjà trouver la bonne personne. Simplement, dans mon couloir je ne voyais personne d'assez compétent pour en être un bon. Entre les trop soumis, les sans imagination et les maladroits j'étais servi.

J'arrivai à mon couloir. C'était assez calme. Certes, je pouvais entendre les cris des Damnés qui ne voulaient pas de leur cendre mais c'était tranquille. Alors je décidai de faire un tour de leur côté. A vrai dire, c'était un de mes passe-temps favoris. Je connaissais certains depuis tellement longtemps. A force de passer l'éternité à flâner dans mon couloir on finit par recroiser les mêmes têtes. Les diables persécuteurs ne soufflaient aucun mot sur mon passage.

Je sentais les regards me déshabiller. Déjà que je n'avais pas grand chose sur moi... Cependant, je m'en délectai et histoire de m'amuser un peu, je décidai de prendre ma forme féminine. Peu étaient les Damnés qui pouvaient se vanter de m'avoir vu sous cette forme. Les débordements étaient nombreux. Si ce n'est dans le quartier des sodomites mais là c'était juste dans l'ordre normal des choses.
J'avais pour habitude d'avoir un contact visuel avec les Damnés. Beaucoup de choses pouvaient passer par les yeux. Les sentiments les plus profond séjournaient ici. Je passais d'une petite rouquine dévorant la cendre avec habitude mais le regard blasé à un grand sec qui se tortillait pour pouvoir défaire sa camisole. Sûrement pour se soulager à ce que je pouvais très distinctement voir.

Aucun d'entre eux n'osaient me parler, ou s'ils le faisaient ce n'étaient que des inepties.  Je ne demandais pas un langage châtié mais tout de même. Rien qu'un Monsieur, ou Madame je n'étais pas regardant, j'étais tout de suite plus réceptif.

Le prochain Damné attira mon attention. Je l'avais déjà vu deux ou trois fois. Son corps était couvert de cicatrices. Il avait une morphologie encore plus androgyne que la mienne.  Ce Damné était d'habitude calme. Aujourd'hui, lorsque je posai mes yeux sur lui, je vis une lueur que je ne lui connaissais pas. Ses prunelles vertes me perçaient. Il était rare pour un Damné qui a déjà fait son bout de chemin dans le couloir de conserver une détermination aussi forte. Intrigué, je m'approchai de lui et me penchai, seins en avant. Je lui montrai le tas de cendres qu'il avait encore à ingurgiter.

"Je vais te taper sur les doigts si tu ne prends pas ta damnation au sérieux, mon chou !"
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Lun 23 Déc - 12:04
Je n’avais qu’un désir en voyant mon Prince s’exposer de la sorte. Qu’il émette un son dans ma direction était du jamais vu. Aussi, au lieu de prendre son avertissement en compte, je décidais de tenter une approche :
« Je pourrais être plus sérieux, c'est vrai. Beaucoup, beaucoup plus sérieux. »
Et comme je me rappelais son air un peu pincé lorsque des Damnés débitaient des mots sans queue ni tête à sa vue, j’ajoutais : « En outre, bien le bonjour, Madame. »

Au fond de moi, mes pulsions trop longtemps ignorées se déchaînaient. Plus rien ne comptait, et surement pas la condition dans laquelle j’étais depuis maintenant trop longtemps. J’étais prêt à endurer bien pire si c’était pour pouvoir être remarqué par l’objet de mes fantasmes des dernières décennies.

Moi, Syb’lah, aspirais à gravir les échelons des Enfers, et dans le couloir de la Luxure, cela revenait à séduire ses supérieurs. Mais tout de même. Asmodée en personne. C’était un peu trop fort, ça non ? Apparemment pas, ou plutôt, ce couloir insipide me faisait devenir fou. Je ne savais plus bien ce que je faisais, mais je me retrouvais collé aux barreaux de ma cellule. J’appliquais une telle force sur le fer que mes cicatrices me faisaient mal, comme menaçant de se rouvrir. Cette douleur, nouvelle sensation depuis des lustres s’ajouta à l’ardeur qui m’habitait déjà.

Je sentais mon corps onduler le long du métal froid, essayant vainement d’atteindre la créature qui se tenait en face de moi. Ces barreaux étaient en quelque sorte mon garde-existence, à défaut d’être mon garde-fou. Le Prince de la Luxure prenait rarement sa forme féminine pour faire le tour de son couloir, et elle était exquise. Souvent torse-nu, à présent poitrine-nue, elle était semblable à elle-même, ou plutôt à lui-même.

Penchée, comme pour me provoquer, ses seins étaient plus proches de moi que quoi que ce soit d’autre. Je réussi, allez savoir comment au vu de l’étroitesse des barreaux, à m’approcher plus encore de mon Prince, irrésistible.

Une partie de ma longue chevelure argentée glissa sur sa poitrine. Je m’immobilisais. Levais les yeux sans pour autant essayer de croiser les siens, ce pourrait être mal perçu. Trop tard.

Je ne réfléchissais plus beaucoup à ce moment-là et manifestement, mon instinct de survie était enterré je ne sais où. Sans doute parti en vacances, puissent-elle lui être agréables. Ahem. Comme je disais, mon esprit était blanc, à défaut d’être vierge.
J’ouvris ma bouche, retroussais mes lèvres et fis mine de la mordre, à la surface de sa peau diaphane.
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Asmodée
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Asmodée
Prince de la Luxure
Mar 24 Déc - 15:35
Je n'en revenais pas. Cela m'arrivait souvent que les Damnés essaient de me toucher. C'était le prix à payer. Cela ne me déplaisait pas. Quelques Damnés étaient encore très beaux et non puant d'indigne luxure. Là en face de moi, se trouve un petit luxurieux, les yeux avides mais non fou. Je m'étais fait surprendre par un petit aguicheur. Apparemment il savait manier sa bouche pour parler mais également pour mordre. En l'inspectant, je pouvais voir que son corps me voulait. Seulement, il n'avait pas à me mordre. JE décidai de ce QUI touchait QUI et QUAND. Ce n'était pas un Damné qui allait me mordre. Ma voix, qui s'était faite féminine pour coller avec mon apparence, tomba subitement dans les graves.

- Toi là bas ! Viens là !

Un diable persécuteur sursauta et trottina vers moi.

- Oui, Seigneur...

Le Damné recula légèrement mais soutint mon regard. Il y avait de l'arrogance et de l'incompréhension. Le bougre ne semblait même pas savoir ce qui lui arrivait mais il n'en démordait pas. Il soutenait mon regard. Ce n'était pas pour me déplaire mais j'allais lui apprendre à se remettre à sa place quand il le fallait.

-Il est ici depuis combien de temps ?

-Plusieurs siècles, Seigneur. Il s'agit d'un des occupants les plus calmes et rigoureux dans sa damnation.

-Il semblerait qu'il prenne ses aises aujourd'hui...

Je pris ma forme masculine. Je vis les yeux verts regarder mes seins devenir un torse imberbe et musclé. Une partie de moi s'en amusait. L'autre voulait jouer avec lui.Cependant, je gardais un visage fermé toujours à observer le Damné. Je pouvais encore sentir le souffle sur ma peau. Il avait réussi à me surprendre mais pas à me faire peur. Je me demandais jusqu'où il pouvait aller. Il m'agaçait et m'intriguait mais j'adorais pousser à bout et en particulier les Damnés trop présomptueux.

-Mon mignon, je vais m'amuser un peu avec toi...

Je renvoyais le diable sommairement et ouvris la cellule pour y pénétrer.

-Avant tout chose réjouissante, comment t'appelles-tu, mon chat ?

Il restai silencieux. Je fermai la porte derrière moi et l'observai. Il était vraiment beau. Le genre d'homme qui pouvait plaire aux deux sexes. Ca tombait bien, je possédais les deux.

Alors comme ça, on aime mordre...?

Je fis un pas vers lui. Le Damné ne bougeait pas. Comme damnation, en plus d'être obligé d'ingurgiter de la cendre, les luxurieux ne pouvaient se toucher. Pour cela, il portait une camisole. Celle-ci ne pouvait être enlever, sous peine de leur arracher la peau si par chance ( ou plutôt malchance) ils parvenaient à l'enlever. En regardant le Damné, je sus ce que j'allais faire. Si il aimait le contact, il allait être servi le coco. Mes mouvements se firent lent extrêmement lent. J'arrivais en face de lui. J'étais tellement proche que je pouvais sentir son souffle contre moi.

Si tu aimes tellement la morsure, murmurai-je en lui frôlant le col de la camisole pour découvrir la peau de son cou, je vais t'enseigner cet art.

Je défis les liens de la camisole et lui enleva. Celle-ci lui arracha des morceaux de peau. Cela pouvait être insensé ce que je faisais. Seulement, je n'étais pas fou. A l'en croire sa respiration qui était sifflante il n'allait pas s'enfuir. De toute façon, je ne le laisserai pas partir. Pas avant d'avoir pu m'amuser un peu car à peine avais-je aperçu la peau de ce Damné, que mes dents se plantèrent dans la chair.
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Mar 24 Déc - 18:31
Jamais je n’avais été mordu de la sorte. Jamais je n’avais eu directement à faire au Prince de la Luxure non plus, il faut dire. Je ne comprenais pas pourquoi il prenait la peine de jouer avec moi.

La douleur avait été vive, bien qu’attendue. Asmodée n’avait pas hésité. J’avais fait mine de le mordre et, comme réponse, il me faisait subir mon idée. À sa propre sauce. Faisant fis des lambeaux de peau qui m'avaient été arrachés par la camisole, j’étais prêt à parier que ma peau avait déjà cédée : je ne ressentais plus aucune tension à ce niveau, juste les dents qui s’enfonçaient dans ma chair.
Cette sensation eut raison de moi et, bien que je me sois retenu de le faire jusque-là, j’agrippais l’être tout puissant qui se tenait en face de moi. Non pas pour le repousser, même si j’en avais eu l’envie, cela aurait été vain. Alors que je me sentais submergé, je l’accueillais presque malgré ma raison. Celle-ci, repoussée au fond de moi, savait que si cela allait plus loin, c’en était fini de moi.

— Syb’lah, murmurais-je, comme en réponse à sa question précédente. En réalité, ce fut plutôt un croassement qui s’éteignit avec mon souffle.

J’aurais voulu resserrer ma prise sur ses bras, mais déjà, je sentais mes forces me quitter. Je laissais alors glisser mes mains le long de son corps. Fuck la coordination, mes neurones avaient momentanément grillés et ce n’est pas comme si j’aurais pu, en de telles circonstances, penser à garder un appui sur son épaule pour me retenir de choir. Oui, mes genoux étaient en train de lâcher et je n’en avais que faire. Et ?

Mes mains furent stoppées dans leur progression descendante par la ceinture de son jean. Je voulais que nos corps soient plus proches. Il me tenait cependant à distance respectable de lui, le seul endroit où nous nous touchions étant nos mains et sa bouche sur mon cou.
Je fis alors quelque chose que je ne regretta pas par la suite amèrement, bien qu’on pourrait penser le contraire quand on sait quelle fut sa réaction à ce mouvement.

Je plaçais mes mains dans le creux de ses reins et, subitement, je le tira jusqu’à moi. Mes muscles se contactèrent violemment et dans le même mouvement, je passais une jambe autour de sa taille. Le tout en équilibre précaire. Je m’attendais presque à ce qu’on se ramasse par terre. Et oui, tous les écrivains de romans de gare et réalisateurs de séries mainstream vous mentent. En vrai, quand on fait ça, il vaut mieux avoir un mur pas loin. Ou une paroi de cellule.
Ce faisant, mes ongles se plantèrent dans la peau de son dos, je ne saurais expliquer comment.  
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Asmodée
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Asmodée
Prince de la Luxure
Jeu 26 Déc - 14:34
C’est qu’il était souple le bougre ! Heureusement que je l’étais moi-même…  

Je sentais la chair de mon dos à vif. De toutes les zones qu’il avait choisi, c’était une de mes préférées. Mais je ne devais rien laisser paraitre. Pour un Prince de la Luxure, je pouvais avoir l’air aussi frigide qu’une petite vierge. Sa chair avait rompu sous mes dents. Pour m’amuser encore un peu, je défis mes crocs et contemplait le visage du Damné. Sa respiration était sifflante, mais alors que je fixai ses yeux, j’y vis un peu plus que du désir. Ce mec voulait littéralement me bouffer. Ou que je le dévore. Il aurait pu battre en retraite mais ses bras, attirant un peu plus mon corps, me prouvait qu’il avait abandonné. Ce Damné était un fou lucide. Quoi de plus intéressant.

Mes canines se plantèrent vers sa clavicule tandis que mes ongles se plantèrent dans ses flancs. Il lâcha un râle mais mon mignon semblait vouloir se retenir. Son corps tremblait et je sentais bien qu’il me désirait. Il eut un mouvement de bassin incontrôlé… Ou pas, là était toute la question. Si je le voulais, j’aurai pu le prendre, là tout de suite contre des barreaux. Je pivotai pour me retrouver moi-même contre les barreaux. Je voulais voir ce que donner le petit, quand il pensait avoir le dessus.

La réponse fut une morsure. Je sentais ses dents s’y prendre à plusieurs fois pour bien me saisir. Dans un geste nerveux, il tira la tête en arrière. Comme pour m’arracher un morceau de chair.

- Tu ne peux pas m’avoir en toi alors tu veux me dévorer, mon agneau ?

Il ne me répondit pas. Ce Syb’lah commençait à m’ennuyer. A part me mordre et me griffer, il ne faisait rien pas grand-chose. Pourtant, je lui avais tendu une perche en me mettant soumis. J’étais peut être impatient. Je ne savais pas ce que je voulais de ce petit diable, au final. Alors je le repoussai. Violemment. Mes mains s’étaient posés sur son torse et avaient poussé. Il résista un moment, mais j’étais bien plus puissant que lui. Il finit par se retrouver au sol. Sa tête heurta le sol. Il ne fut nullement étourdi.

- Je suis las de …

Je n’eus pas le temps de finir ma phrase que le Damné me sauta dessus et planta ses lèvres contre les miennes. Rapidement, je sentis qu’il cherchait ma langue. Seulement, celle-ci se trouvait indisposée. Je le repoussai de nouveau.

- Je t’ai dit que j’étais…

Le luxurieux se jeta de nouveau sur moi, voulant finir ce qu’il avait entrepris. Ces mains s’affairèrent sur ma ceinture.

- Mais qu’est-ce que… ?

Je commençais à ne pas aimer. Du tout. Lorsque je repoussais une fois, les Damnés ne revenaient plus. Ce petit con lui, non. Je lui saisis la gorge. Je sentis sa pomme d’Adam sous ma paume. Je tournai sur moi-même pour le plaquer contre les barreaux brûlants. Sa tête les fit tinter. Je vis derrière le diable persécuteur se faire, bizarrement, tout petit. Un sourire illumina mon visage. Certainement pas d’une bonne lueur.

- Je pourrais te réduire en cendre et te faire bouffer aux luxurieux pour ce que tu as fait. Je me demande si je ne vais pas t’envoyer chez les sodomites, tester l’empalement… Hum ? Je ne demande rien qu’un minimum de respect. Je suis ton Prince, pas la pauvre pucelle qui tu as pu t’enfiler de force à l’arrière d’une grange, vu ? D’ailleurs, je ne sais pourquoi je prends la peine de te parler. Je devrais t’achever.

A mesure que je parlais, le visage du Damné rayonnait. Les commissures de ses lèvres s’étaient étirées. Il me semblait aussi fou que moi.
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Sam 4 Jan - 18:04
Je ne pouvais pas faire ce que j’aurais souhaité, je le savais mais cela ne m’empêchait pas d’essayer. Depuis le début, je savais qu’en osant de telles choses envers mon Prince, je devais faire une croix sur ma fierté et laisser ma dignité au placard. Pour l’instant. La seule chose qui me restait après toutes ces années à bouffer de la cendre était mon ambition. Démesurée, sachant que je n’étais qu’un simple damné.
Tant pis.
Je décidais que l’éternité ne valait pas la peine d’être subie dans cette cellule et essaya d’entraîner Asmodée dans mon petit jeu aussi sauvage que luxurieux.

Plaqué contre les barreaux, je relâchais tous les muscles qui pouvaient exister en moi. Je plantais ensuite mon regard dans le sien et, tout doucement, je remontais mes bras le long de son corps avec souplesse. Il eut un geste, comme pour me dégager mais ne l’acheva pas. Je ne tenais debout que par la force qu’il appliquait sur ma gorge et cela commençait à brouiller ma vision.
D’un côté je me laissais étrangler, de l’autre j’en profitais pour explorer ses terminaisons nerveuses. Ça aurait pu être un défi. Je faisais en sorte que ce soit un simple marché, comme si on l’avait convenu au préalable.

Tout-à-coup, je déchirais sa peau en suivant la courbe de long des hanches, à la limite de son ventre et y enfonçais mes doigts, élargissant la plaie le long de l’os qui saillait sous l’épiderme. A cet endroit, une cavité d’air est naturellement située, si bien que mes doigts la trouvèrent naturellement. Elle n’est pas placée si profondément que ça, il faut juste être un peu agile de ses doigts.

Asmodée me saisit brusquement les cheveux. Je glissais le long des barreaux et finis à genoux. J’ôtai une de mes mains de la cavité que j’avais créée, du sang coula et imbiba son pantalon que je dégrafai. Son organe émergea et j’en profitais pour le saisir dans entre mes lèvres. Mon Prince avait l’air hors de lui et avant qu’il fasse quoi que ce soit, j’aspirai son membre aussi violemment que je le pouvais. Je sentis ma main se resserrer sur l’os de sa hanche, l’ilium.

Ce que j’aurais aimé avoir les aptitudes métaphysiques que je désire depuis longtemps en cet instant !
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Asmodée
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Asmodée
Prince de la Luxure
Mer 8 Jan - 18:17
Alors que ce bougre s'activait sur mon sexe - chose qui, objectivement, ne me gênait pas - j'en avais juste plus qu'assez qu'il ne m'écoute pas. La violence n'avait pas marché. Il avait même pris plus son pied qu'autre chose. Le vague espoir de m'amuser avec lui avait, depuis longtemps, quitté mes pensées. Ce n'était qu'un Damné de plus. Malheureusement. La plaie se referma, les mains du Damné n'étant plus là. La douleur là non plus, n'était pas pour me déplaire. Le plaisir dans la souffrance et le sang, je l'avais presque inventé.

Je sentais sa langue. Je sentais son désir à lui. Il ne prenait pas de bon temps à m'en donner. Je le sentais frustré. Alors qu'au début, c'était sa fierté, que j'avais lu dans ses yeux, qui m'avait attiré à lui, là il était à genoux comme une vulgaire prostituée. Bordel à queues.

Je changeai donc de forme. Abandonnant mes attributs masculins, passant de Prince à Princesse. Ahaha. La bouche de Syb'lah se trouva bien vide et son visage surpris. Je posai mon pied sur son épaule. Mon jeans laissait toujours apparaître mon sexe. Syb'lah scruta mon corps avec envie et approcha sa bouche.

Tu manques d'imagination ou bien ? susurrai-je. Si j'ai pris cette forme, c'est pas pour un pauvre cunnilingus vite fait.

Mes mains s'accrochèrent aux barreaux pour soulever mon corps. Je passai mes deux jambes dans le dos, mes genoux cognant contre ses oreilles.

Tu aimes la douleur, mon coco. Je vais t'en donner. A toi de me cracher à la gueule ta fierté.

Je donnai un grand coup de pied dans le dos de Syb'lah. Sa tête se retrouva entre mes cuisses. Je serrai. Je serrai encore et encore... Je sentais son souffle contre mon entrejambe. Les yeux de Syb'lah s'ouvrirent en grand.

Si tu n'es pas une catin, ne te mets pas à genou.
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Sam 11 Jan - 20:39

Ces âneries commençaient sérieusement à me bassiner, nom d’une pelle-a-tarte ! Un jeu inintéressant pour un résultat insipide. Il me semblait que quoi que je fasse, rien ne retiendrait assez mon attention pour que cela me plaise. Autant ne rien faire et attendre.

Je me débrouillais pour me dégager de ses cuisses. Je n’avais plus l’esprit à cela, et ce à tel point que j’en avais la nausée. M’éloignant d’Asmodée, je lui tournais délibérément le dos et m’accroupis. Je me sentais comme sur la crête d’une falaise : d’un côté la terre ferme, sûre et désolante et de l’autre, la mer déchainée, promesse de mort mais si insondable et attirante. Dans tout cela, mon Prince n’apparaissait plus. Il ne représentait rien dans mon horizon. Ça n’était pas normal, et s’il savait ce qui se passait en moi, il m’aurait sans doute arraché la tête.

Ce qui se passait tout autour de moi m’atteignait comme à travers un épais brouillard.

Insignifiance.

Broutille.

Futilité.

Sous mon crâne, je n’étais que spectateur. Dans mon cœur, un véritable typhon s’en donnait à cœur joie. Je pouvais discerner mes sentiments, trop accrus, toujours opposés et pourtant bien plus réels les uns que les autres. Tout ceci était tangible, et j’aurais voulu un espace vide de tout sens pour m’y laisser dériver. Ces sensations, je les maudissais. Je me haïssais pour ceci.

« Mais que cela cesse ! me surpris-je à rugir dans cet espace sans avenir. L’espoir est plus faible que jamais. Les simagrées, inutiles. Tes tours de passe-passe, redondants. Et mon discours n’est que trop reflet d’une vérité oubliée.
La chaleur fait tourner les têtes, ton corps est source de caprices fantaisistes, et le rejet est ton don généreux ! »
À présent, je m’adressais à Asmodée, Prince de la Luxure sans me soucier de rien. On aurait aussi bien pu être potes de toujours, sans aucun secret l’un pour l’autre, assis devant un feu de camp, chamallows et banana split.
« Tu ne fais que marcher sur le chemin tracé pour toi, comme la perfection que tu es ! Eh bien, ce nec plus ultra version démoniaque, pourquoi ne pas en faire quelque chose ? »
J’aurais voulu que mon Prince m’arrête là, je ne savais que trop ce que je disais, et comment ! Rien dans mes mots ne représentaient ma personnalité, ça n’était pas moi ! Et pourtant ! Mes lèvres semblaient ne plus vouloir s’arrêter d’exulter de telles abominations.
« Allons ! Remue-toi un peu ! Ce Prince-là devrait bien pouvoir formuler des mots, autre que pour remplir son parfait rôle de Maître de la Luxure. »
Le froid de mon cœur s’était propagé à mes os, à mon corps tout entier et je tremblais. Des éclats de rires entrecoupés de paroles infâmes jaillissaient sans fin de mon être.
« J’y suis ! Mais oui ! Engager une quelconque action serait vaine, n’est-ce pas ? Tout est dérisoire, même l’Existence ! Rien ne sera retenu de nos prochains. Le néant. C’est de quoi nous venons et vers quoi nous allons. Espacé d’un enchevêtrement d’illusions. Ne connaître que cela, c’est là la nature de la réalité, puisqu’elle existe sans régner ! »
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Asmodée
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Asmodée
Prince de la Luxure
Jeu 16 Jan - 16:46
Avec ce discours, il y avait de l'écho dans nos deux esprits.

Je ne bougeais pas, le laissant parler et ce, non pas manque de courage. Syb'lah avait un cri dans le coeur et il n'en avait évacué qu'une partie si infime. Cela ne l'allègerait pas. Jamais. Cependant, il avait eu plus de courage et de droiture dans cette douleur qu'aucun Damné à ma connaissance. Dans un sens, une partie de moi respectait ça. Un Prince pourtant, ne respecte pas les Damnés, surtout pas eux. On ne se respectait qu'entre Princes. Et lui...Il avait une verve que je ne comprenais que trop bien.

Je ne suis née, Syb'lah que par un manque et une envie, des humains imparfaits, contrôlant tout jusqu'à croire qu'il s'agit de ma faute. Je pourrais te réduire en cendre pour l'arrogance et le zèle dont tu as fait preuve envers moi.

Je m'approchai de lui et le forçai à me regarder. Ses yeux verts avaient quelque chose de froid et de totalement absent. Une sensation étrange brûla mon corps. Ce n'était pas désagréable, juste éprouvante. Il me regardait comme si je lui apparaissais dans un rêve. Je ne faisais pas parti de sa réalité. Plein de tout. Plein de vide.

Quand je regarde ce pauvre Damné, j'ai l'impression de voir l'enfant que j'étais.

Son visage se durcit à mes mots. Forcément, cela ne devait pas lui plaire, mais ce qui me préoccupait n'était pas ce qu'il ressentait maintenant. Là tout ce que j'avais en tête, était ce que j'avais senti dans cette cellule. Après tout le temps qu'il avait passé ici, il était encore un écorché vif. Un superbe écorché vif que j'avais envie de faire mien.

Tu n'entendra jamais un Prince s'adresser à un Damné de cette manière. Jamais. Alors retiens bien ces mots, Syb'lah le luxurieux...

Le Damné fronça les sourcils. Revenait-il vers moi ? L'avais-je fait fuir ? Si même son âme était perdue, je n'y pourrais rien mais je le voulais.

Je reviendrai. Je tâcherai que ton néant soit rempli d'autres chose que de cendre.

A ces mots, je portai mes lèvres aux siennes. Ce ne fut pas un baiser chaleureux ou langoureux. Je n'avais pas pour but de violer cette bouche qui avait pleuré. J'avais envie de sceller quelque chose. Je tenais mes promesses.Je sortis de la cellule puis me tournai vers lui.

Remettez lui sa camisole, dis-je en m'adressant au diable persécuteur.
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