Impasse, chaîne et griffes rebelles [Ouvert]-[En cours]

Well, hum, I truely sOrry de ne pas avoir écrit ça plus tôt, surtout que ça ne casse pas 3 pattes à un caneton.

Après ce que m’avait fait Satan et ce sur quoi avait enchaîné Asmodée, j’avais l’impression d’avoir perdu de ma prestance. Des responsabilités m’avaient été assignées mais rien n’était plus normal : j’étais à présent Général de la Perversité. La chose qui me désarçonnait le plus était la façon dont les damnés me regardaient lorsque je passais dans leur couloir. Surement parce que quelques heures plus tôt, j’étais à leur place.

Il y avait aussi les armes qui m’avaient été décernées. L’idée étant de me les approprier et d’en faire un prolongement utile de mon corps, je m’étais isolé. Dans mon bureau, oui, mAdAme ! J’avais en l’occurrence repoussé tous les meubles contre les murs. Enfin quand je dis ça, je parle des deux fauteuils qui encombrent le chemin.

Après un certain temps, j’étais arrivé à un résultat qui donnerait envie à n’importe quel humain mais qui ne me satisfaisait toujours pas. J’avais trop l’impression de passer à côté de quelque chose de primordial. Ces armes avaient été choisies et offertes par le Prince de la Luxure, s’il n’y avait pas quelque chose de plus à en tirer, bannissez moi des Enfers !

Le problème majeur étant que je n’arrivais même pas à entrapercevoir ce potentiel supposé. Ni le mien, d’ailleurs. Utiliser des lames, je l’avais fait à maintes reprises en étant humain, mais cela semblait remonter à trop loin et aucun point de comparaison ne pouvait être fait entre mon précédent corps humain et celui-là, maintenant libre de ses mouvements. Si mon aspect éthéré ne m’avait pas échappé en tant que damné, mon côté démoniaque avait été passé à l’as et était complètement endormi.

Et voilà que je sentais poindre une migraine ! Cela faisait un certain temps que ça durait. Je commençais à peine à encaisser le ressenti de mon environnement après cette promotion. Je sorti de mon bureau en claquant la porte.